Originaire du Sud-Ouest des États-Unis, la sauge blanche (Salvia apiana) est une plante médicinale et rituelle utilisée depuis des générations par les peuples autochtones d’Amérique du Nord. Considérée comme une plante sacrée, elle est au cœur des cérémonies de purification et de prière.
Récoltée à la main de manière éthique et respectueuse, puis séchée naturellement, la sauge blanche dégage une fumée dense, aux notes herbacées et puissantes, réputée pour chasser les énergies négatives, clarifier l’esprit et élever les vibrations d’un lieu ou d’une personne.
Que ce soit avant une méditation, un soin énergétique, ou simplement pour purifier un espace, ou une pierre, la sauge blanche agit comme un véritable outil de nettoyage énergétique et d’ancrage spirituel.
Conseils d’utilisation :
Placez l’extrémité de votre bâton de sauge blanche dans une Coquille d’ormeau (Abalone), d'Huître perlière, de Saint Jacques ou tout autre support résistant à la chaleur, ou gardez le à la main. Allumez le bâton, de préférence avec une allumette, puis laissez-le brûler quelques secondes. Soufflez doucement pour éteindre la flamme une fumée dense et aromatique commencera à se dégager.
Attention, la cendre des feuilles de sauge en brûlant s'envole facilement.
Pour purifier des cristaux, passez-les lentement dans la fumée en les tenant ou en les plaçant sur une surface (étagère, table, autel). Veillez à ce que la fumée entoure bien chaque pierre pour une purification complète.
Pour nettoyer un lieu, procédez pièce par pièce, fenêtres fermées, en guidant la fumée dans les coins, autour des objets et le long des murs. Une fois le rituel terminé dans toute la maison, ouvrez largement les fenêtres pour aérer et permettre aux énergies négatives de s’évacuer avec la fumée.
Une fois votre rituel terminé, reposez votre bâton dans votre coquille et laissez la Sauge se consumer lentement ou étouffez-la si nécessaire en l’écrasant légèrement dans la coquille. La fumée, désormais purificatrice, laissera place à une atmosphère plus claire et apaisée.
